L’activité économique a été pénalisée en début d’année par une consommation en baisse, affectée par la hausse du prix du pétrole et des mesures fiscales, comme la hausse de la CSG et des taxes sur les carburants.
Il n’empêche que les indicateurs économiques de l’été ne sont pas très encourageants pour l’économie française. Outre le ralentissement de la croissance, le déficit commercial s’est encore aggravé en juillet, à 6,2 milliards d’euros, et le chômage a légèrement rebondi au cours du deuxième trimestre.
Erreur de stratégies , erreurs de communications , utilisations de vérités relatives, le gouvernement et les députés marcheurs vont devoir faire marche arrière pour contrôler les déficits de popularité et les déficits économiques ..
La rentrée sera difficile pour tous surtout pour les français moyens , il faut craindre de nouvelles augmentations des taxes et la disparition d'aides sociales ( le pognon de dingue ) et l'attribution d'aides à l'agriculture pour cause de sécheresse , n'hésitons pas , un impôt sécheresse ne serait pas improbable.