Donald Trump s’est fait élire sur la promesse que tous les problèmes des Etats-Unis pourraient être réglés avec des solutions simples, grâce à une approche de bon sens, non politiquement correcte. Il n’est manifestement pas totalement sorti de ce mythe. Au 91e jours de l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, le "Washington Post" qui tient un décompte quotidien des erreurs et des mensonges du président, en a dénombré 394.
Conclusion de Toby Dalton, codirecteur du département de politique nucléaire à la Fondation Carnegie, dans le "New York Times" toujours : "Entre un président impulsif, qui semble se désintéresser des détails, un manque général de considération pour l’expertise, et une méfiance vis-à-vis de l’intelligence, une crise avec la Corée du Nord pourrait très mal se terminer.
Ça file le trac de penser que nous serions dans la même situation au cas où l'un des candidats qui clame haut et fort être hors du système malgré un très gros mensonge, prenait le pouvoir sans aucune compétence d'aucune sorte dans quelques domaine que ce soit.
Une folie à coup sur dont nous ne pourrions pas nous relever au regard des désastres annoncés, sur tous les plans, diplomatiques, économiques et sociaux.
La totale finalement.