Sur les bancs de l’assemblée, comme dans les médias, Jean-Luc Mélenchon donne le ton. Dans Le Journal du dimanche du 2 juillet, le leader de La France insoumise a accusé les autres partis de gauche, du Parti communiste français (PCF) au Parti socialiste (PS) en passant par Europe Ecologie-Les Verts (EELV), d’avoir été complices pour « bloquer la percée » de son mouvement.
Il serait temps que ce monsieur se réveille, il n'y plus de gauche de gouvernement ni de partis écologistes , donc vraiment personne pour lui barrer la route du pouvoir à gauche, il avait un boulevard devant lui. quant a t' il fait ?
La faible représentation des Insoumis à l'assemblée nationale explique bien des choses. Les commentaires du chef de ce parti ne semblent pas avoir été appréciés par les électeurs , pendant et après les élections présidentielles, son comportement à l'assemblée ne semble pas non plus faire l'unanimité .