Je vois perler aux yeux de Mario une larme, des souvenirs des récit de ses parents furent si douloureux , l’horreur innommable, des services publics inopérants, les services des états avaient démissionnés, les services de voirie inefficaces, les déchets n’étaient plus ramassés, provoquant une mortalité galopante, des services sanitaires complètement débordés, des médecins dépassés par le nombre de malades qui s’entassaient dans des mouroirs de fortune, sous des tentes, sous des abris, dans des grottes, les cadavres n’étaient plus enterrés mais brûlés pour éviter de plus grandes contaminations. L’état et ses fonctionnaires en poste s’étaient retirés à l’abris dans des forteresses, à l’abri derrière des tireurs d’élite, en vase clos, sans contact avec la population, aucune statistique, plus aucune information n’était diffusée, les postes de radio se sont éteint petit à petit, les antennes furent muettes, la population laissée à l’abandon. Ce fut le prix de la réduction des déficits en période de crise économique, de chômage, le prix de l’ultra libéralisme qui fut de mode peu avant la crise, ce fut le prix de l’égoïsme et du sauve qui peut, le prix d'un monde à reconstruire !!
La suite à mon retour ..