Nous sommes toujours dans la même galère, et rien ne change si ce n’est quelques cadeaux fiscaux à un électorat historique qui pour l’instant restait silencieux mais n’en pensait pas moins malgré les effusions présidentielles proclamant que tout ne va mieux et qu’au final tout ne va pas si mal, à croire que l’élu n’a jamais côtoyé des chômeurs en fin de droit, des jeunes en désespérance , des presque seniors sans emplois et sans espoirs, voilà ou sa naïveté l’a entraîné à croire les promesses d’un nanti représentant les nantis syndiqués comme l’ont montré les salaires annuels des grands patrons du CAC40, honte à leurs conseils d’administrations qui n’ont pas su identifier le comment de leur réussite industrielle, pourtant si facile à constater. La solution est simple, réduire les dépenses en pratiquant des réduction des effectifs et en réclamant sur tous les tons à l’état des aides et des réductions de charges, voire une modification du contrat de travail
Ces années de néo libéralisme gauchisant ont tué la gauche ainsi que les espoirs d’un peuple. Il ne restera en lisse que la droite et son extrême avant que tout ne bascule vers une agitation populaire dont la gauche néo libérale sera responsable.
On ne peut se moquer impunément du peuple sans provoquer de troubles qui risquent de faire table rase de bon nombre d’avantages spécifiques au pouvoir , aux représentants politiques et aux élus, notre démocratie risque de ne pas en sortir indemne, la faute à ceux qui ont profité sans vergogne des avantages que leur prodiguaient la fonction.