Pierre Gattaz n’est pas content. Pas content du tout. « Politique de gribouille », « délire », « absurdité »… Le patron du Mouvement des entreprises de France (Medef) n’a pas eu de mots assez durs, mardi 19 avril, à l’occasion de sa conférence de presse mensuelle, pour fustiger le projet de réforme du code du travail, dont l’examen doit débuter le 3 mai à l’Assemblée nationale.
Je suis d’accord avec le patron du médef, nous sommes devant une politique de n’importe quoi , surtout lorsque l’on constate le manque de résultats obtenus après les efforts consentis par le peuple français au bénéfice des patrons, le CICE et le pacte de responsabilité , ou sont donc passé les 30 milliards déjà versés , sûrement pas dans les créations d’emplois. Maintenant , la loi travail préconise les mises au chômage des employés pour mieux en embaucher plus tard , réduire le chômage par le chômage est une gageure et sans doute une connerie de plus à mettre à l’actif du médef et à celui qui s’est déjà laissé berné plus d’une fois…
Tôt ou tard il faudra revenir à des idées un peu moins extravagantes, il n’y a pas assez de travail pour tous, alors partageons le au lieu de demander le retour des semaines de 40 heures , voir plus…
La technologie fait qu’il nécessite moins de personnes pour effectuer les tâches industrielles, de plus les délocalisations ont fortement réduit l’espoir d’embauche dans bons nombres de secteurs industriels. Réduire le chômage passe par la ré industrialisation de notre pays et non pas dans des sujétions fumeuses du médef qui ferait bien mieux d’exploiter sa créativité vers des projets bien plus réalistes.