Cinquante ans après le premier pas de l’homme sur la Lune, notre satellite fait de nouveau rêver des agences spatiales. Trump veut y envoyer des Américains, et deux missions robotisées sont prévues par l’Inde et la Chine.
Nostalgie ou pur aveuglement de conquêtes spatiales , la Lune est à nos portes aujourd'hui , bien plus facile que de tenter d' aller vers Mars . puis cela pourrait redorer le blason de politiciens en manque de notoriété internationale , Trump fait à coup sur parti de lot.
Et aujourd’hui, Donald Trump, peut-être en raison de son obsession de détricoter ce que son prédécesseur a fait, redonne un coup de barre vers la Lune en revenant au plan de George W. Bush… Un autre connaisseur du monde spatial se montre grinçant :
« Tout le monde se moque de 90 % des décisions de Trump. Pourquoi, sous prétexte qu’il s’agit de la Lune, faudrait-il prendre celle-ci au sérieux ? » (Le Monde )
Le monde serait plus tranquille si ce président faisait parti du prochain voyage vers les astres.