Faut-il y voir une affaire ou... le sens aigu des affaires d'un directeur général de Mutuelles devenu ministre ? Tout commence en 2010 lorsque Richard Ferrand, alors à la tête des Mutuelles de Bretagne, signe une promesse d'achat pour des locaux situés à Brest. Ceux-ci sont ensuite acquis par une société civile immobilière (SCI) tout juste fondée par sa compagne, puis enfin loués à l'organisme mutualiste qui les remet en état.
Une bonne affaire, bien juteuse, on reconnaît dans ce comportement l'attitude du magouilleur intéressé , sans grandeur morale et attentif à la légalité , le pire modèle politique que nous puissions élire, la balle est dans le camp des bretons, vont ils le réélire au profit du parti présidentiel qui ne sera pas grandi en cas de succès de ce candidat.