La réponse est non. Réunis à Madrid, jeudi 30 mars, les pays européens acheteurs de l’avion de transport militaire A400M ont décidé de maintenir les pénalités infligées à Airbus pour ses retards de production. Ils pourraient éventuellement se montrer plus souples pour certaines sanctions, a toutefois indiqué l’un des négociateurs à l’agence Reuters. Mais pas question de revoir le contrat, comme le demandait le PDG de l’avionneur, Tom Enders.
Une tache qui va enlaidir pour un certain temps Airbus plus habitué à fêter des succès qui pour l’instant ont caché des déboires techniques ou des incompétences notoires.